Les Cahiers du Iaidō
[…] Tous les gestes sont bons quand ils sont naturels. Ceux qu’on apprend sont toujours faux […] Sacha Guitry
« Comment-ca-marche » regroupe des éléments d’anatomie et de physiologie articulaire, musculaire et générale simplifiées accessibles à toutes et à tous. Dans un premier temps ces notions de biomécanique[1] vous aideront à comprendre comment fonctionne votre corps lors de votre activité favorite…Dans un second temps, elles seront sources de réflexions permettant d’affiner compréhension et mise en place des fondamentaux de la discipline.
Qualité de saisie du sabre, justesse du positionnement du regard, exactitude des hauteurs de coupes, éducation de la posture, gestion de la qualité des appuis, expression du zanshin et du seme, rapidité et fluidité du geste….ne sont pas des choses innées. Ce sont autant de thèmes de travail abordés au cours de nos entraînements quotidiens qui trouvent tous leurs fondements et leur expression dans une juste et naturelle utilisation de la biomécanique.
Un exemple pratique ?
Posez votre coude sur la table et votre avant-bras verticalement devant vous, pliez le poignet…vos doigts se tendent tout seuls. A l’inverse, dans la même position remontez le poignet vers l’arrière…vos doigts se ferment tout seuls…c’est naturel…
Conclusion : en pratique, la saisie correcte de la tsuka par les deux mains se fait toujours avec une légère extension des poignets qui aide au maintien et au verrouillage naturel du sabre…
[1] « En sciences, application des lois de la mécanique aux organismes vivants » Définition Encyclopédie Universalis.
« Comment-ca-marche » regroupe des éléments d’anatomie et de physiologie articulaire, musculaire et générale simplifiées accessibles à toutes et à tous. Dans un premier temps ces notions de biomécanique[1] vous aideront à comprendre comment fonctionne votre corps lors de votre activité favorite…Dans un second temps, elles seront sources de réflexions permettant d’affiner compréhension et mise en place des fondamentaux de la discipline.
Qualité de saisie du sabre, justesse du positionnement du regard, exactitude des hauteurs de coupes, éducation de la posture, gestion de la qualité des appuis, expression du zanshin et du seme, rapidité et fluidité du geste….ne sont pas des choses innées. Ce sont autant de thèmes de travail abordés au cours de nos entraînements quotidiens qui trouvent tous leurs fondements et leur expression dans une juste et naturelle utilisation de la biomécanique.
Un exemple pratique ?
Posez votre coude sur la table et votre avant-bras verticalement devant vous, pliez le poignet…vos doigts se tendent tout seuls. A l’inverse, dans la même position remontez le poignet vers l’arrière…vos doigts se ferment tout seuls…c’est naturel…
Conclusion : en pratique, la saisie correcte de la tsuka par les deux mains se fait toujours avec une légère extension des poignets qui aide au maintien et au verrouillage naturel du sabre…
[1] « En sciences, application des lois de la mécanique aux organismes vivants » Définition Encyclopédie Universalis.